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Benjamin Désiré

Chef d’entreprise

« La transmission de l’entreprise a été réussie, grâce à une très belle relation de confiance avec mon père ! » Benjamin Desire, Directeur général de L’ENTREPRISE ROGER DESIRE à Saint Maur (36)

Après sa prépa math sup – math spé, Benjamin a suivi des études en alternance d’ingénieur dans les travaux de construction à l’ESITC à Caen. Il a ensuite travaillé dans différentes entreprises, des filiales de grand groupe ou des grosses PME indépendantes. Le prochain départ en retraite de son père a accéléré son retour dans l’entreprise familiale…

 

 

  • Quel a été votre parcours professionnel ?

 

Tout jeune, je me suis passionné pour la construction. Il y avait bien sûr l’entreprise familiale mais je n’étais pas certain de vouloir prendre la suite. J’ai pu suivre mes études, et commencer à travailler dans différentes entreprises. J’ai beaucoup observé les modes de fonctionnement, d’organisation et de management, c’était très intéressant. Je savais dans un coin de ma tête que je pouvais revenir plus tard au sein de notre entreprise. Un de mes cousins en est le Président et son épouse s’occupe de la comptabilité, c’est vraiment une affaire de famille ! C’est l’annonce de mon père qui envisageait de prendre sa retraite qui m’a décidé à m’engager dans l’entreprise. L’idée de transmission me plaisait et aussi l’idée de travailler en binôme avec mon père. C’est grâce à cette complicité entre nous que j’ai pu compléter mes compétences avec la formation de l’ESJDB. Pour résumer, je dirais que la transmission de l’entreprise a été réussie grâce à une très belle relation de confiance avec mon père. Je n’oublie pas non plus le parfait esprit d’équipe avec les autres membres de la famille bien sûr…

 

  • En quoi cette formation vous a été le plus utile ?

 

Nous avons pu traiter tous les sujets nécessaires à un entrepreneur du bâtiment. Pas seulement dans la technique, on a traité l’administratif, la comptabilité, les assurances… Mon cousin l’avait suivi quinze ans avant moi et en avait gardé un excellent souvenir et m’avait incité à la suivre. On apprend tellement de choses qu’il est difficile de dire ce qui est le plus utile. Je retiens que c’est là que j’ai appris où et comment trouver les informations dont j’ai besoin. Les deux sujets les plus importants pour moi, ont été, le management et la comptabilité. Un des enjeux est de maîtriser le vocabulaire pour pouvoir parler la même langue avec un expert-comptable par exemple.

 

 

  • Quelle a été votre meilleure surprise au cours de cette formation ?

 

C’est la qualité de l’esprit d’équipe qui s’est construit dans notre groupe. Très vite, les inconnus que nous étions, ont brisé la glace en se parlant très sincèrement, sans langue de bois. Cela nous a permis d’échanger sur nos problèmes au quotidien, dans nos entreprises et de trouver les bonnes solutions en partageant nos expériences. Par exemple, je me souviens que nous avons longuement parlé de la gestion des conflits entre salariés. Chacun a pu livrer un conseil, un retour d’expérience, une idée ou même une méthode qui avait fonctionné. Nous avons eu des vrais moments d’échanges avec beaucoup de sincérité et ce n’est pas anodin…

 

 

 

  • Quel conseil pour les futurs stagiaires ?

 

Il ne faut pas hésiter, car cette formation est très complète ! En revanche, il faut bien se préparer car ce n’est pas toujours simple de se détacher de son entreprise, une semaine par mois. Cela force à déléguer le travail, c’est très utile. C’est indispensable de se rendre complètement disponible pour cette formation. Il est illusoire de penser que l’on va continuer à gérer son poste et toutes ses tâches en dehors des heures de formation, pendant cette semaine-là. C’est clairement impossible de concilier les deux ! Cela demande un véritable engagement, de la préparation et de l’organisation. Mais, une fois que la formation est terminée, vous vous rendez compte que c’est un bénéfice très important pour vous-même mais aussi pour l’entreprise. Je l’ai constaté en mesurant l’impact sur nos partenaires comme notre banque qui connaît le sérieux de cette formation et qui la considère comme un vrai atout pour notre entreprise.

 

Entreprise :  ROGER DESIRE
Corps d’état :  Maçonnerie (neuf et rénovation), ravalement et isolation par l’extérieur 
Effectif : 20   
Année de création :   1954
Fondateur :  Roger DESIRE   

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Benjamin DésiréChef d'entreprise
Marlène ARCHAMBAUD

Marlène ARCHIMBAUD

Cheffe d’entreprise

« J’ai pris confiance en moi ! » Marlène Archimbaud, gérante de la société Archimbaud TP – Décines (69)

 

Après sept ans dans le secteur paramédical, Marlène Archimbaud est passée dans les travaux publics. Un changement radical pour œuvrer avec son frère au développement de l’entreprise familiale, qui s’est révélé être sa véritable passion…

 

  • Quel a été votre parcours professionnel ?

 

J’étais attirée par le secteur paramédical, j’ai passé un diplôme d’état de manipulatrice en radiologie et je me suis engagée pendant sept ans dans ce domaine. J’aimais bien cet univers, cela se passait bien, je me sentais utile. Mais j’ai compris que je ne trouverais pas beaucoup d’évolution professionnelle. Le week-end, j’aidais ma mère dans la comptabilité de l’entreprise familiale de travaux publics. L’entreprise était en croissance et mon aide était utile. Cela m’a permis de suivre l’activité de l’entreprise et c’est presque naturellement que l’idée a germé de rejoindre notre société. Le problème c’est que je n’avais pas de formation dans nos métiers et cela me gênait car j’avais besoin de me sentir vraiment légitime. Nous étions face à des enjeux liés à notre développement, comme le recrutement. Je ressentais qu’il me manquait des éléments pour être davantage sereine. J’ai effectué des recherches pour compléter ma formation et j’ai trouvé la formation de l’ESJDB. J’avais envie d’apprendre et de pouvoir apporter des choses nouvelles, notamment dans le domaine de la gestion et du management…

 

  • En quoi cette formation vous a été le plus utile ?

 

Le résultat de cette formation, a été, pour moi, vraiment impressionnant. Cela a été du top niveau. J’ai beaucoup appris en management, en comptabilité et cela m’a énormément aidé pour ouvrir une nouvelle structure au sein de l’entreprise. En fait, sans cette formation, cela aurait été impossible. J’ai pu évoluer petit à petit et mettre en œuvre ce que j’apprenais au fur et à mesure. J’ai pris confiance en moi, cela m’a apporté davantage de sérénité pour faire face à tous nos enjeux…

 

 

  • Quelle a été votre meilleure surprise au cours de cette formation ?

 

J’ai aussi découvert qu’au-delà de l’acquisition des connaissances, c’est une véritable aventure humaine à laquelle nous avons participé. Il y avait un vrai esprit d’équipe entre nous et j’ai été bluffée ! J’avoue que je ne m’y attendais pas à ce point.

 

  • Quel conseil pour les futurs stagiaires ?

 

La formation ESJDB prend du temps et de l’énergie mais les résultats seront au rendez-vous. Il faut saisir sa chance et prendre cela comme une formidable opportunité. Ensuite, il est important d’être déjà en position dans l’entreprise pour mettre en œuvre ce que l’on apprend. Moi, j’étais déjà gérante, donc j’ai pu mettre en place les changements nécessaires, en temps réel. C’est un vrai plus, de pouvoir appliquer les connaissances acquises, très vite dans l’entreprise.

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Marlène ARCHAMBAUD
Marlène ArchimbaudCheffe d'entreprise
deotto

Marc Deotto

Chef d’entreprise

«Quand on est un homme de l’art du BTP, il faut travailler dans les règles de l’art» – Marc DEOTTO Directeur général SAS DEOTTO – Gallardon (28)

Fils d’entrepreneur en maçonnerie, Marc Deotto avait son avenir tout tracé dans l’entreprise de son père et menait joyeuse vie quand il a pris la mesure de l’importance de la tâche qui lui incombait pour continuer à tenir le flambeau et a décidé de mettre tout en œuvre pour y parvenir. Il s’est révélé un chef d’entreprise d’excellence qui a su garder toute sa joie de vivre.

 

  • Quel a été votre parcours professionnel ?

J’ai arrêté l’école en 3e. Je n’étais pas fan de l’école. Mon père avait une entreprise de maçonnerie (c’est mon grand-père qui l’a créée) et pendant mes années de collège j’adorais passer du temps avec lui à son travail. En dernière année de collège, ma prof d’art plastique m’a dit « Quand on est bon à rien on finit dans le bâtiment ! ». Un jour le pignon de sa maison s’est effondré et c’est moi qui suis venu le réparer ! Ça m’a fait plaisir de lui montrer ce que savait faire le bon à rien ! A l’époque le bâtiment avait une mauvaise image…

A 16 ans j’ai suivi une formation professionnelle au CFA de Chartres. En 4 ans j’ai eu le CAP, le BEP, le brevet pro puis j’ai commencé à travailler dans l’entreprise de mon père. Quand mon père a voulu prendre sa retraite, j’avais 27 ans. Il m’a proposé de prendre la relève pour continuer avec son associé Pierre Yves Martin qui était métreur (le plus anciens de l’entreprise). C’est à ce moment que j’ai fait l’ESJDB, en 2007. C’était un gros challenge car il fallait que je me mette au niveau mais j’étais décidé. J’ai beaucoup travaillé, j’ai tout mis en veille : la batterie (tous les soirs je joue de la musique !), les sorties avec les copains, les fêtes… Je me suis fait violence et ça a payé ! j’ai repris l’entreprise en 2012 avec l’associé de mon père qui est devenu Président. Ce n’est pas parce que je suis « le fils de » que je dois m’accorder la plus noble fonction ! Moi je suis directeur général. Nous formons un bon tandem de dirigeants.

Nous avons modernisé le matériel, l’équipement des locaux pour le personnel… Ce qui me tenait le plus à cœur quand j’étais ouvrier maçon c’était d’avoir un endroit pour les ouvriers alors je l’ai fait. Ça améliore la qualité de la vie des salariés ; ils apprécient. Nous avons bâti un grand dépôt pour gagner du temps, investi dans des engins de levage pour soulager les hommes. Toutes ces évolutions augmentent l’efficacité et la compétitivité. Depuis que j’ai repris, je n’ai eu aucune démission. Je reçois des cv toutes les semaines.    

 

  • En quoi cette formation vous a été le plus utile ?

Je connaissais très bien le travail de la maçonnerie mais en comptabilité générale c’était la noyade !! Une montagne. Au début de ma formation je dormais sur place à l’hôtel. Le prof de comptabilité logeait dans le même hôtel. Du coup j’ai profité de son aide. Le soir on reprenait le tableur, il m’expliquait que je devais savoir lire un bilan, que c’était indispensable. Je m’obligeais à rester concentré mais c’était drôlement difficile !

Le management aussi m’a permis d’améliorer la communication avec mes gars. Quand ça ne va pas, il faut parler ! Et puis les rencontres avec les autres entrepreneurs, les échanges d’expérience, leurs déboires… Tout celà était très enrichissant.

 

  • Quelle a été votre meilleure surprise au cours de cette formation ?

Le projet social, j’ai trouvé ça génial. Ce n’était pas pour faire de l’argent, c’était une mission pour améliorer la vie des gens sous handicap. Une très belle surprise : ma première épreuve d’entrepreneur aussi. J’ai participé à un chantier social pour une association de chiens guides d’aveugles. J’ai pris les choses en main : Quand on est un homme de l’art du BTP, il faut travailler dans les règles de l’art. Depuis, je m’efforce d’assumer tout ce que je décide de faire. Cette expérience m’a donné aussi plus de fermeté.

 

  • Quels conseils pour les futurs stagiaires ?

Il faut échanger avec ses collègues, les écouter quand ils ne vont pas bien. Dans chaque famille il peut y avoir des problèmes. On gagne en production quand le salarié est bien dans l’entreprise, il faut veiller au bien-être de ses collaborateurs, être attentif. Il faut rester soi-même quand on devient le patron. Le pouvoir c’est comme l’argent ça change les gens, il met des œillères. Ce métier c’est la solitude absolue ! Le patron, c’est celui qu’on démolit par derrière quand ça va mal. Moi je suis resté moi-même avec mon franc-parler et mes valeurs. Ce n’est pas facile : quand vous travailliez avant comme chef de chantier avec 5 ou 6 gars et que du jour au lendemain vous vous retrouvez tout seul face à toutes sortes problèmes, parfois ça vous fait perdre votre sourire … Ça se remarque ! Le secret c’est d’impliquer le plus possible ses collaborateurs aux processus de décision car au final on trouve toujours des solutions ! Tout finit par s’arranger.

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Marc DeottoChef d'entreprise
Edouard Bénard

Édouard Bénard

Chef d’entreprise

« J’ai pu mettre en œuvre des changements qui nous ont permis d’être plus forts.» – Édouard Bénard, co-gérant ATELIERS CHRISTOPHE BENARD – Yerville  (76)

 

Edouard Bénard est un homme de chiffres. Il a travaillé, pendant neuf ans, dans le secteur des assurances. Mais la perspective de la transmission de l’entreprise familiale l’a ramené, en 2019, vers la menuiserie d’art.

 

  • Quel a été votre parcours professionnel ?

Ce sont les chiffres qui m’ont attiré et j’ai donc suivi une formation en gestion et comptabilité. Diplôme supérieur, licence et master m’ont permis d’entrer dans une société d’assurances et d’occuper différents postes administratifs dans la comptabilité, le contrôle de gestion ou la gestion de crise. En parallèle, je suivais le parcours de l’entreprise familiale dont je faisais la comptabilité. Je gravitais autour de l’entreprise et cela maintenait le lien. Quand mes parents ont commencé à évoquer leur retraite, le projet de transmission a rapidement pris forme. J’ai envie de dire que cela s’est passé assez naturellement mais j’ai ressenti le besoin de renforcer mes compétences, notamment, dans le domaine du management où j’avais le plus de besoin. Je suis arrivé en 2019, dans l’entreprise, mais j’avais aussi besoin de la découvrir et j’ai attendu 2021 pour commencer la formation « Entrepreneur du Bâtiment » de l’ESJDB, ce qui m’a permis de prendre un peu de recul. Dans notre entreprise familiale, nous sommes 18 et j’avais vraiment besoin de mieux me positionner par rapport aux autres. Ce n’était pas évident pour moi et la formation m’a beaucoup aidé. J’ai pu mettre en œuvre des changements, qui nous ont permis d’être plus forts. J’ai vraiment eu le sentiment d’évoluer tout au long de la formation et c’était très agréable. L’ouverture d’esprit nécessaire à cette démarche nous a permis de changer.

 

  • En quoi cette formation vous a été le plus utile ?

C’est le management qui m’a été le plus utile. J’ai aussi progressé dans l’analyse des chiffres pour mieux réaliser nos bilans de chantier sur un plan financier.

 

  • Quelle a été votre meilleure surprise au cours de cette formation ?

Au sein de notre promotion, nous sommes très vite devenus un groupe soudé, j’ai trouvé ça très étonnant ! Nous nous sommes parlés très librement. Mais la plus grande surprise, pour moi, fut le projet collectif qui a été le point d’orgue de la formation. Ce fut le révélateur de nos capacités à transformer ce qui doit l’être. J’ai vraiment eu le sentiment de vivre quelque chose de fort ! Je suis d’un naturel plutôt réservé et je me suis surpris à aller vers les autres. J’ai coordonné le projet et j’ai senti que chacun donnait le meilleur de lui-même. L’objectif de créer un jardin sensoriel pour des enfants souffrant de handicaps a permis de partager le sens fort de notre projet. Voir ces enfants heureux du résultat a été notre plus belle récompense…

 

  • Quel conseil pour les futurs stagiaires ?

Pour ceux qui pourraient hésiter à participer à cette formation, je donnerai trois arguments :

– La qualité des intervenants avec des experts dans leurs domaines.

– L’esprit d’équipe qui se forge au sein de la promotion transforme notre lien en un réseau professionnel très solide.

– Le projet collectif véritablement fédérateur

 

  • Entreprise : ATELIERS CHRISTOPHE BENARD
  • Corps d’état : Menuiserie d’art – Ebénisterie
  • Effectif :  18
  • Année de création : 1967
  • Fondateur : Christian BENARD
  • https://www.atelierschristophebenard.com

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Edouard Bénard
Édouard BénardChef d'entreprise
Stephane Scarafaggio, stagiaire ESJBB

Stéphane Scarafagio

Dirigeant

. Une expérience très enrichissante, multiple. En tant qu’homme technique, j’ai découvert ce qu’était l’environnement du chef d’entreprise dans sa diversité et sa complexité. C’est un passage obligé, car cela permet de prendre de la distance, du recul. La formation est complète, très riche et correspond aux attentes du chef d’entreprise d’aujourd’hui. Pour moi, ça a été une renaissance.

 

Stéphane Scarafagio est dirigeant de l’entreprise d’électricité Scara & Cie dans les Hautes-Alpes.

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Stephane Scarafaggio, stagiaire ESJBB
Stéphane ScarafagioChef d'entreprise
Stephane Andrieux

Stéphane Andrieux

Dirigeant

. Après 20 ans, j’ai jugé qu’il était précieux de prendre un peu de distance sur l’opérationnel pour avoir un regard différent sur le fonctionnement de nos deux entreprises. Nous voulions, avec mon frère décider nous-mêmes de l’endroit où nous voulons emmener notre navire, sous quelle forme et à quel rythme. La partie la plus importante du cursus VISIO est pour moi la construction d’une stratégie pour nos entreprises.

 

Stéphane Andrieu est dirigeant d’un entreprise de Travaux Publics, dans l’Orne. Après 20 ans de gestion de l’entreprise, il a intégré le cursus VISIO pour prendre de la hauteur et développer sa stratégie

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Stephane Andrieux
Stéphane AndrieuDirigeant
Joseph Spataro, stagiaire ESJDB

Joseph Spataro

Chef d’entreprise

. J’ai fait le cursus Entrepreneur du Bâtiment pour combler des lacunes en gestion et surtout en management. Car j’ai repris l’entreprise avec 17 salariés, puis nous sommes rapidement passés à 25. Le besoin en management était très important. Cette formation est très bâtiment et TP. C’est très terrain, des réponses concrètes à de réels problèmes. Chaque chose apprise peut être mise en œuvre dans l’entreprise.

Joseph Spataro est dirigeant de l’entreprise STARTER TP dans le département 68, comptant aujourd’hui 50 salariés. Il a réalisé le cursus « Entrepreneur du Bâtiment » en 2005.

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Joseph Spataro, stagiaire ESJDB
Joseph SpataroChef d'entreprise
Aurelia Dupré, stagiaire ESJDB

Aurélia Dupré

Co-gérante

. Je m’occupe de la partie administrative et relation fournisseur et client de l’entreprise. J’ai effectué cette formation au moment où nous avions des difficultés financières et relationnelles avec nos partenaires. Je me suis donc formée au management et à l’analyse financière. A chaque retour de formation, nous appliquions les méthodes acquises. Cette formation a été un bol d’air pour moi, car je me sentais seule dans l’entreprise. Nous avons appris beaucoup de méthodes de gestion et d’analyse financière. Cela m’a beaucoup appris.

 

Aurélia DUPRE est co-gérante et assistante de direction dans une entreprise de maçonnerie, dans les Landes. Elle a effectué le cursus « Entrepreneur du bâtiment » en 2015.

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Aurelia Dupré, stagiaire ESJDB
Aurélia DupréCo-gérante